Rarement un film Disney aura eu autant l’occasion de sortir des clichés… des films Disney. Non seulement le monde des jeux videos (avec ses possibilités infinies de références) permettait pas mal de choses au niveau du contexte, mais une fois n’est pas coutume, pas de princesse ici. Bon, une miliseconde, pas plus. Du coup c’est plutôt rafraîchissant, même si cela manque de fond et d’émotion véritable, mais c’est devenu la norme chez Disney, on passe un peu moins de 2h plutôt jouissives et libératrices. C’est déjà pas si mal ; et après tout, combien de Rox & Rouky peut-on produire en l’espace d’un seul siècle ?