Qui aurait cru que je serais capable de regarder un film de zombies sans souiller mes vêtements, ou une romance adolescente jusqu’au bout sans rouler des yeux toutes les dix minutes ? Alors quelles étaient les chances que je regarde Warm Bodies ? (élevées, en fait : j’avais vu les premières minutes lors d’un trailer et m’étais promis de m’y attaquer un jour)
Et le plus fou, le plus imprévisible de tout ça, c’est que Warm Bodies m’a ravie. C’est une histoire vieille comme le monde (demandez à Shakespeare) et pourtant ça marche grâce à l’humour incroyable du monologue interne de R. A cela il faut ajouter une jolie conclusion à l’épidémie, et j’étais conquise.
Si on m’avait dit !
Et le plus fou, le plus imprévisible de tout ça, c’est que Warm Bodies m’a ravie. C’est une histoire vieille comme le monde (demandez à Shakespeare) et pourtant ça marche grâce à l’humour incroyable du monologue interne de R. A cela il faut ajouter une jolie conclusion à l’épidémie, et j’étais conquise.
Si on m’avait dit !