Regardé non pas en raison de la présence de Sarah Michelle Gellar, mais malgré elle. Je n’en attendais pas grand’chose, étant donné la profondeur du jeu de SMG d’ordinaire (cet aspect-là a été conforme à mes attentes…), pourtant la première partie du film dépeint avec beaucoup plus de lucidité son sujet (mieux que Prozac Nation), mais après, le film fait un grand saut de requin et devient sirupeux à souhait. Il parait que vu que c’est du Coelho, ce n’est pas étonnant, mais comme je n’ai jamais lu cet auteur…