Je ne regarde pas souvent des films réalisés par Michael Bay, mais quand je le fais, je saigne des yeux. Et des oreilles. Et du cerveau, en fait. Pourquoi je m’inflige ça, au juste ? Eh bien, parce que je veux aussi regarder des succès commerciaux. Mais là, non, c’était mon dernier Michael Bay, j’ai donné. Pendant 2h23, certes, mais ça semblait aussi long qu’une sentence à vie.