Ce que j’apprécie dans ces films, c’est que bien qu’ils fassent appel à l’imaginaire classique de la fantasy pour enfants, ils sont aussi d’une dureté, voire d’une cruauté salvatrice. Les raccourcis et facilités scénaristiques sont amplement compensées par cette capacité à ne pas reculer devant des scènes assez violentes psychologiquement. Le personnage de la souris m’a un peu tapé sur les nerfs (caution humoristique franchement pas nécessaire), mais sinon, pouces levés. Je m’attendais à plus niais et je continue d’être épatée. Ah bah mince, le 3e volet n’est pas encore sorti…