C’est peut-être la définition de « harmless fun », mais la franchise St Trinian’s (ou au moins son reboot) est suffisamment honnête vis-à-vis de son petit délire pour qu’on puisse s’amuser sans arrière pensée. Le pensionnat le plus anarchiste du Royaume-Uni part ici dans une nouvelle aventure tirée par les cheveux, mais reprend les éléments-clé qui faisaient le premier volet. Je regrette simplement que ses gags soient globalement moins sombres, mais l’univers farfelu (et par moments parodique) de St Trinian’s reste très appréciable même sans ça.