On ne s’amuse pas devant Spotlight. On ne s’attache pas aux personnages. On ne s’abîme pas dans la contemplation de la photographie. On ne se réjouit pas des prouesses de la réalisation. Non, l’essentiel du temps, on essaye juste d’extirper notre tête de nos doigts crispés, en essayant de ne pas murmurer trop fort, putain…
Et puis au sortir du film, on retourne sur internet et on se retrouve vite submergé de liens vers des sites « d’information », et on a du mal à ne pas étendre l’amertume à la question journalistique au sens large.
Et puis au sortir du film, on retourne sur internet et on se retrouve vite submergé de liens vers des sites « d’information », et on a du mal à ne pas étendre l’amertume à la question journalistique au sens large.