Après avoir tenté Kaboom, j’ai enchaîné sur un deuxième film de Gregg Araki, dont la veille encore je ne connaissais pas le travail. En fait, non : « un second film » serait le terme approprié, car même si j’apprécie, dans une certaine mesure, l’univers et les thèmes du cinéaste, la forme hésitant entre le cheap et le « over the top » me freine énormément pour apprécier ses films. Dans le cas de Mysterious Skin, il faut aussi ajouter un cast très inégal, et, surtout, une certaine scène très violente qui m’a retourné l’estomac. Désolée, je passe.