Ah, la grande et intemporelle fable sur les choses précieuses qu’on trouve avant la mort : l’intelligence de se refocaliser sur « l’essentiel », la force de pardonner… Un homme qui devant le cancer, veut raconter sa vie à l’enfant qu’il ne connaitra pas, c’était une bonne idée, mais malheureusement tout devient si bon enfant ensuite. Comme si tous les hommes devenaient subitement sages avant de mourir. C’est un joli conte mais entre le début et la fin du film, on a très largement perdu le réalisme de vue. Dommage.