En-dehors de quelques très bonnes scènes sur la fin, Lucky manque dramatiquement de pep’s. Le problème ne vient pourtant pas de son sujet, ni même des situations traversées, mais tout simplement des dialogues très pauvres et surtout d’énormément de longueurs. C’est très dommage parce qu’une fois qu’ils sont lancés, Ari Graynor et Colin Hanks forment un excellent duo, mais le film leur offre très peu d’opportunités d’embrasser leur potentiel et de profiter de leur très bonne alchimie.