Avec son personnage un peu stéréotypé, ses intrigues amoureuses inutiles mais nombreuses, In a world… a bien failli ne pas parvenir à délivrer sa très bonne conclusion. L’accumulation de visages familiers auquel il fallait sûrement donner un os à ronger n’a sans doute pas aidé. Bref, on a failli avoir un énième film indé brouillon sur les bras, et il s’en est fallu de peu. Disons que la fin justifie ce qui est moyen ! Et ce n’est pas Geena Davis qui me contredira.