On peut trouver que le sujet, en dépit de sa nécessité, est une histoire « inspirée par des faits réels » reposant essentiellement sur la compassion, voire sur la pitié. On peut trouver que le piège à critiques positives s’est refermé sans coup férir sur les votants de diverses académies cinématographiques. On peut même trouver que McConaughey en rajoute un peu trop pour être sincère. Reste que Dallas Buyers Club est un film à voir : ce qu’il décrit ne doit pas être oublié.