Eh bien non, je n’avais encore jamais vu Cube. Et je ne m’en portais pas si mal car une fois de plus sa réputation lui fait plus de tort qu’autre chose. Alors que l’occasion était idéale pour offrir un vrai contenu, la forme continue de l’emporter inexorablement jusqu’à la fin paresseuse qui donne plus l’impression d’avoir délivré une fin parce qu’il le fallait qu’autre chose. Reste une jolie thématique de l’enfermement perpétuel qui ne sera pas exploitée au point d’être véritablement glaciale. Les suites s’en chargeront-elles ? Pas certain, mais je n’irai pas vérifier.