Mouaif.
Écoutez, bon, avant qu’on ne se lance dans des opérations de lynchage, soyons clairs : j’ai aimé les choix esthétiques de Coco, l’ambiance musicale du film (qui pour un film musical Disney sur des musiciens, parvient à ne jamais sembler trop en faire), et l’émotion contenue notamment dans sa fin. MAIS, et c’est vraiment un gros mais : ce film est épouvantablement trop long ! Il y a plein de remplissage, de scènes banales, de lieux communs, de moments totalement vidés de toute substance, juste pour en faire un long métrage alors que sincèrement, cette idée fonctionnerait très bien voire mieux sur la moitié de la durée. Sacrifier aux poncifs des films du genre fait peut-être de Coco un divertissement grand public efficace, mais atteint sérieusement sa capacité à étonner et émouvoir, des qualités dont pourtant le film fait démonstration à l’occasion. Résultat, il m’a fallu m’y reprendre à trois fois pour finir ce film. Voilà, maintenant vous pouvez me lyncher.
Écoutez, bon, avant qu’on ne se lance dans des opérations de lynchage, soyons clairs : j’ai aimé les choix esthétiques de Coco, l’ambiance musicale du film (qui pour un film musical Disney sur des musiciens, parvient à ne jamais sembler trop en faire), et l’émotion contenue notamment dans sa fin. MAIS, et c’est vraiment un gros mais : ce film est épouvantablement trop long ! Il y a plein de remplissage, de scènes banales, de lieux communs, de moments totalement vidés de toute substance, juste pour en faire un long métrage alors que sincèrement, cette idée fonctionnerait très bien voire mieux sur la moitié de la durée. Sacrifier aux poncifs des films du genre fait peut-être de Coco un divertissement grand public efficace, mais atteint sérieusement sa capacité à étonner et émouvoir, des qualités dont pourtant le film fait démonstration à l’occasion. Résultat, il m’a fallu m’y reprendre à trois fois pour finir ce film. Voilà, maintenant vous pouvez me lyncher.
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