Byzantium présente les seuls vampires avec lesquels je peux frayer sans trop de craintes. D’abord parce qu’ils utilisent très peu leurs dents à l’écran, mais surtout parce qu’ils expriment plus une damnation éternelle et le poids de l’immortalité, qu’il ne se régalent de victimes. Byzantium fait un excellent travail dans la description du boulet que trainent ses personnages centraux, et l’excellente prestation de Saoirse Ronan ne gâche rien.