Eh bah, c’était bien nul. C’est rare qu’un film de 1h34 paraisse si long, mais Air y parvient grâce à son ingéniosité qui consiste à passer d’un cliché à l’autre sans jamais rien apporter de personnel, sans jamais rien demander d’intéressant à ses acteurs (pourtant il n’y en a que deux et demi), sans jamais rien tirer de son scénario. Je dirais bien que c’est un film rempli de vide, mais même ce jeu de mot pourri est trop bon pour ce navet. Ah, et on peut m’expliquer l’intérêt du filtre « Poster Edges » de Photoshop en continu ?