Violence gratuite, but make it girly. De la baston, des couleurs vives, et de la sororité de circonstance : c’est tout ce qu’il faut attendre du scénario de Birds of Prey, qui s’échine à feindre la consistance sans vraiment s’en donner les moyens. Et soit, tous les films n’ont pas besoin d’être des œuvres complexes. Du moment qu’on sait ce qu’on vient trouver, ou qu’on se raccroche aux performances (Margot Robbie mais aussi Jurnee Smollett se donnent à fond), ça n’est pas bien grave.