La recette est éprouvée : on est devant un film d’action où se sont glissées des références à une série de science-fiction. Immanquablement, un « méchant » est introduit qui veut détruire quelque chose (aujourd’hui une station spatiale, demain toute la Fédération !), que l’équipage de l’Enterprise, aussi sûrement que s’il faisait partie de la A-Team, va arrêter avant qu’il ne soit trop tard. Il y a zéro surprise. Pourtant le début du film, qui annonçait un James T. Kirk déprimé, m’avait laissé espérer autre chose. Quelque chose d’un peu plus profond, peut-être, une forme de questionnement sur ce que peut être le travail au sein de Starfleet. Mais non. On ne veut surtout pas perturber les gens avec des trucs aussi incongrus que des émotions.
Les films Star Trek récents ont tout compris de la façon dont on fait des entrées… beaucoup moins de l’esprit de Star Trek.
Les films Star Trek récents ont tout compris de la façon dont on fait des entrées… beaucoup moins de l’esprit de Star Trek.