Ca fait des mois que je veux vous le montrer, celui-là. Tout simplement parce qu’il est bon, mais aussi parce que, la première fois que je l’ai vu, ce générique était sur un immense écran de cinéma, et qu’il ne m’en est apparu que plus grandiose encore.
A la façon du générique d’A la Maison Blanche, le générique de Borgen a toutes les caractéristiques génétiques de l’hymne national imaginaire et du portrait officiel, et pourtant il en ressort beaucoup plus d’élégance, de rythme et de fluidité. Et bien-sûr, on sent qu’on bascule entre plusieurs mondes, la politique, les médias et la famille, ce qui retranscrit bien les dimensions que peut prendre Borgen.
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Chaque fois que je revois ce générique, je suis transportée au creux des montagnes, là où pour la première fois, j’ai vu ce très bon générique, et ce non moins bon pilote. Parce qu’il me rappelle aussi un pan de mon histoire téléphagique, je suis devenue très attachée à ce thème. Parce qu’il n’y a pas que les raisons objectifs qui comptent, et heureusement.
Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Borgen de SeriesLive.