Attention, review à méchants spoilers velus.
Autant on peut avoir envie d’aimer ce film, ses thématiques, ses retournements de situation peut-être même… autant arrivée au bout des 2h, je ne peux certainement pas prétendre une chose pareille. Déjà parce que la plupart des révélations sont balancées sans la moindre émotion derrière (Jack apprend qu’il a un peu détruit l’Humanité… pendant une scène où il bricole un drone et donc n’a pas l’occasion d’avoir la moindre réaction), la moindre portée dramatique est gommée par un problème épouvantable de rythme. A mesure qu’Oblivion se déroule, on a plutôt l’impression de voir le contrat de Tom Cruise être mis en images : une moto, check, des scènes d’action où il a l’air cool, check, de belles femmes, check… C’est cool d’être Tom Cruise mais hélas, contrairement au personnage de Jack, il n’y a qu’un seul Tom Cruise. Faire un film juste pour satisfaire l’ego de Tom Cruise, c’est un peu court, quand même. Et puisqu’on parle de femmes, être Olga Kurylenko et avoir 90% de temps d’antenne passé à répéter le nom de « Jack » sur tous les tons, à être jolies et/ou à être en danger, c’est de la VDM où je m’y connais pas.
Nan mais promis, au départ je voulais lui laisser une chance à ce film, mais à un moment, bon.
Autant on peut avoir envie d’aimer ce film, ses thématiques, ses retournements de situation peut-être même… autant arrivée au bout des 2h, je ne peux certainement pas prétendre une chose pareille. Déjà parce que la plupart des révélations sont balancées sans la moindre émotion derrière (Jack apprend qu’il a un peu détruit l’Humanité… pendant une scène où il bricole un drone et donc n’a pas l’occasion d’avoir la moindre réaction), la moindre portée dramatique est gommée par un problème épouvantable de rythme. A mesure qu’Oblivion se déroule, on a plutôt l’impression de voir le contrat de Tom Cruise être mis en images : une moto, check, des scènes d’action où il a l’air cool, check, de belles femmes, check… C’est cool d’être Tom Cruise mais hélas, contrairement au personnage de Jack, il n’y a qu’un seul Tom Cruise. Faire un film juste pour satisfaire l’ego de Tom Cruise, c’est un peu court, quand même. Et puisqu’on parle de femmes, être Olga Kurylenko et avoir 90% de temps d’antenne passé à répéter le nom de « Jack » sur tous les tons, à être jolies et/ou à être en danger, c’est de la VDM où je m’y connais pas.
Nan mais promis, au départ je voulais lui laisser une chance à ce film, mais à un moment, bon.
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