L’objectif de Queen ne trompe personne : oui, en se lançant (suite à un impondérable puis un coup de tête) dans un voyage initiatique, l’héroïne va se trouver. Mais on ignore à quel point elle en a besoin, d’une part, et surtout la bonne humeur de Queen a vraiment un charme fou. La quête est belle parce que bien troussée, voilà tout, et le cortège de visages rencontrés pendant ce périple est en outre plein de bonnes surprises. Rani est le produit de son éducation, mais pendant qu’elle se découvre, elle va aussi découvrir le reste du monde, et ça, pardon, mais ça me parle. La curiosité et l’ouverture d’esprit comme porte d’entrée vers une vie intérieure plus sereine ? N’en dites pas plus : on signe où ?