Mon dernier coup de cœur en date (le précédant remontant à 6 mois, ce n’est pas rien), et un bon moment dépourvu d’imperfection. En un peu moins de 24 heures, l’intrigue de Top Five va nous emmener avec à la fois légèreté et sincérité dans le monde du stand-up, du cinéma, de la télé réalité, mais aussi nous parler franchement de personnages confrontés à l’alcoolisme, le sexe, ou encore l’amour… mais absolument pas de la façon qui aurait été évidente. Ici c’est par le biais d’une interview que presque tout se déroule, permettant de passer par des moments simplement gais et d’autres plus déchirants. Tout cela, comme la scène d’ouverture le rappelle, sans jamais oublier la résonance raciale et/ou sociale du vécu de ses personnages. Tout s’emboîte avec aisance, énergie, passion, et tendresse. Le tout avec un cast de folie (affiche comme cameos).
Bon alors, j’ai pas tout compris des références au monde du rap (un peu chiant vu le titre), mais pour le reste, la perfection incarnée.
Bon alors, j’ai pas tout compris des références au monde du rap (un peu chiant vu le titre), mais pour le reste, la perfection incarnée.