En matière d’escapisme, on trouvera difficilement plus dépaysant que Rio. Il y a la musique, certes, mais il y a aussi les couleurs, l’impression de ressentir la brise tiède du front de mer, le vent dans les plumes et la caresse de la végétation sur le bec. On va dire que je me laisse facilement emporter, mais c’est quand même bien pour ça que j’avais signé.