Le problème d’Ender’s Game, c’est de commencer le film en ayant fini le livre. Deux heures de film en connaissant le très savoureux twist de fin, ça fait mal. Surtout quand le film se montre incapable de jouer sur la psychologie de son héros ou son ressenti, et nous balance tout ça au dernier moment comme à des manants. D’un côté, il faut admettre que le livre était très difficile à adapter, mais de l’autre… yavait qu’à pas.