Je suis de ceux qui pensent que ces choses n’arrivent pas, qui oublient ce que c’est d’avoir 16 ans aussitôt qu’ils en ont 17, pour qui tout ça n’est devenu qu’un ensemble d’histoires. Mais l’espace d’1h42, The Perks of Being a Wallflower m’a rendu l’illusion de souvenir. Et en cet instant…