C’était mon premier film portugais. Et euh… WOW. Sacrée claque. Une fois qu’on est bien dans l’ambiance (et celle-ci est assez bien posée pour qu’on plonge rapidement, si je vous m’excusez le terme), on se laisse porter dans cette histoire à base de Destin, de hasard, de surnaturel, ou peut-être pas, en tous cas de vies interconnectées et en souffrance. C’était franchement incroyable, et cela, avec peu de budget finalement, et presqu’intégralement dans le désert poussiéreux du Nevada. Ce qu’on arrive à faire avec un bon scénario, c’est fou, parfois on l’oublierait presque. Contraluz est là pour le rappeler.