Déjà que j’ai un faible pour les « coming of age » stories se déroulant à la fac, mais quand on y ajoute les problématiques de Blue Like Jazz, je suis carrément aux anges. Si la fin m’a quelque peu laissée… sur ma faim, en revanche le reste du film est une exploration tendre, farfelue et pétillante de l’expérience que l’on peut faire du monde lorsqu’on a grandi en vase clos.