Il y a quelques semaines, j’avais demandé sur Twitter quels étaient les noms des superhéroïnes de série qui venaient à l’esprit du plus grand nombre. C’est comme ça que j’ai réalisé qu’une série comme Birds of Prey avait totalement échappé aux téléphages de ma timeline, et que Witchblade était passée sous les radars également. Des séries américaines qui ont 15 ans à peine, pourtant. Et qui, à l’heure où l’on parle tant de personnages féminins et de représentations, gagneraient à être connues. Je me suis dit que j’allais donc parler d’au moins une de ces séries que j’ai toujours eues dans un coin de tête…
…Quand la tragédie Powers s’est produite sur mon écran. Il était temps d’agir de façon plus large.
Des personnages liés à l’univers des comics, il en apparaît plein, partout, tout le temps, en ce moment. Au cinéma, bien-sûr, mais à la télévision également, sous la houlette de Marvel et DC qui s’efforcent d’établir une présence soutenue sur autant d’écrans que superhumainement possible. Pourtant l’idée n’a rien de neuf, bien-sûr ; Batman dans les années 60 ou Wonder Woman pendant la décennie suivante, ont habitué les spectateurs à retrouver des héros de papier sur leur téléviseur. Note : un téléviseur c’est un truc qu’on utilisait pour regarder la télé, avant.
Le résultat, c’est que des adaptations de comics, ça n’a pas manqué dans l’histoire de la télévision, ni aux USA, ni même ailleurs. Cette semaine, on va parler du lien entre séries et comics, sous toutes les formes possibles et imaginables, même les plus originales. SURTOUT les plus originales. Des héros que vous connaissiez, sûrement, mais d’autres qui vous auront peut-être échappé, vont donc jalonner notre semaine de découvertes.
Je vous donne rendez-vous chaque jour à midi, jusqu’à dimanche, pour découvrir ces fictions. L’occasion de parfaire votre culture et de briller en société la prochaine fois que quelqu’un vous parlera, avec des étoiles dans les yeux, d’Arrow ou de Gotham comme de l’alpha et l’oméga de la télévision en collants. Ah ah ah, Gotham, nan mais laissez-moi rire…
Allez, je suis de bonne humeur, je commence avec une première review dans cinq minutes.