Nous abordons donc la deuxième moitié de l’année pour nos rendez-vous Friday Night Highlights, et, j’avoue, je ne me lasse toujours pas d’avoir de vos nouvelles. Il y a un côté très motivant dans l’idée de lorgner sur ce qui se passe sur les écrans des copains, et se dire que, ah, ouais, bonne idée, je pourrais regarder ça ! Ou pas, d’ailleurs.
Mais en tous cas, de s’ouvrir à des possibilités nouvelles. Surtout à l’approche de la fin de la saison US, les recommandations, suggestions et autres idées saugrenues, sont les bienvenues.
Eh bien justement, puisque vous abordez la question : comment s’est passée votre semaine ? A votre avis, quels en sont les temps forts ?
Cette semaine, je pensais sincèrement que vous alliez massivement voter pour The Tomorrow People, et du coup j’ai regardé le pilote… et les épisodes suivants… et je suis à jour de la diffusion. Je ne dirais vraiment pas que c’était un coup de cœur, mais après le pilote de The 100 la semaine dernière, j’ai eu envie de science-fiction. J’en suis toujours là, d’ailleurs. Du coup je me suis aussi refait la mini-série Battlestar Galactica (et comme vous le savez si vous fréquentez régulièrement le Friday Night Highlights, ça me pendait au nez depuis un moment. Je me retiens à grand’peine de me lancer dans un marathon. C’est tellement pas le moment que je me lance dans un truc de 4 saisons ! Mais si je le fais, je pense que je vais vous inviter à m’accompagner, et faire des reviews épisode-par-épisode. Ce que, comme vous le savez également, je ne fais que très rarement. Donc suspense !!!
Toujours au rayon des pilotes, vous le savez, j’ai regardé Welcome to Sweden, qui est, hm, moins enthousiasmant, je ne vous le cache pas.
Comme je continue de faire du tri dans mes reviews en brouillon (Pod Prikritie, Mammon…), et que j’ai aussi essayé de mettre à jour régulièrement le World Tour (bonnes résolutions de printemps, on va dire !), bah, mon planning de visionnage en a pris un coup, reconnaissons-le. On peut pas être partout, c’est sûr. Je me suis juste assurée d’être à jour dans How I met your mother, pour être en symbiose avec l’explosion de l’univers la semaine prochaine, et de progresser tranquillement dans Miss Korea.
Toujours pour rebondir sur le débat initié sur Veronica Mars, cette semaine j’avais envie de vous demander quelles séries, si vous le pouviez, vous ramèneriez sous forme de film, même si, comme whisperintherain nous le rappelle :
Mais bon, en restant optimiste, imaginons que ça ne tourne pas mal, et que vous puissiez choisir UNE série parmi toutes celles de la planète : ce serait laquelle ?
A plus court terme, je vous propose aussi de prédire votre weekend : qu’avez-vous prévu de regarder ?
Ces derniers temps j’ai eu envie de regarder des vieilleries, donc j’ai un peu envie de fouiller mes archives pour trouver un pilote un peu daté, pour changer. On verra si je trouve de quoi me motiver, mais ça me tente bien. Je vais aussi continuer de compléter des reviews commencées il y a des semaines ou même des mois, ce qui implique plus d’écriture que de visionnage, mais je n’excus pas des revisionnages pour mener mon entreprise à bien, héhé ! On fera aussi un bilan de Hořící Keř, et gare à ceux qui n’ont pas regardé sur arte !
Et pour finir, je me suis gardé le deuxième épisode de The 100 sous le coude pour ce weekend ; j’espère toujours continuer à voir plus de positif que de négatif dans cette série (c’est une question d’équilibre, pas d’excellence).
Oh et, vous allez rire. J’ai toujours pas vu Bosch. A ce stade, c’est littéralement un acte manqué.
Voilà, assez papoté pour moi, c’est maintenant à vous : et vous, comment ça va, téléphagiquement ?
Waow, réussir à être à l’heure sur le FNH, je ne me reconnais pas !
Cette semaine, quelques petits bonheurs brefs, entre le season finale de Girls qui te fait passer par toutes sortes de sentiments connus et inconnus (+ la Master Class de Lena Dunham à Paris il y a quelques semaines made in OCS, un joli moment), entre les derniers épisodes de Community qui m’ont ravi comme c’est pas permis, entre la fin de mon rattrapage sur Shameless (fin de s3) qui me fait extrêmement planer, entre Veep (également rattrapage) qui est très très bon. Bref, une belle semaine comme on les aime.
Ce weekend ? Voir le dernier Brooklyn Nine-Nine, l’une des perles comiques de cette saison 2013/2014. Me mettre à jour sur Person of Interest et Elementary. Continuer Veep pour me mettre en condition pour son retour dans 10 jours. Et dormir. On va essayer.
Ce fut une semaine bien calme. Je n’ai pas vu grand chose. Et le si peu, il est sans éclat, moyen, rien de mémorable sur lequel il faut s’enthousiasmer ou crier de rage et de fureur. Une semaine tiède.
Du coup, je vais tricher. Juste un peu. Et parler du HS des Inrocks sur « la sériethèque idéale ». Comme tout principe de liste, il y a forcément des séries qui manquent ou d’autres qui n’ont rien à faire là… mais chaque rédacteur y va de ses quelques lignes, plus ou moins longues, pour – pas nécessairement nous convaincre du bien fondé de leur choix, mais d’expliquer pourquoi. Chaque série choisie devient légitime… aux yeux d’un rédacteur.
Il n’y a pas de grandes surprises, les principales têtes d’affiche sont présentes (Sopranos, The Wire, OZ, Urgence, X-Files, Friends, Seinfeld, etc…), les outsiders également (Ahaa quel beau texte de Clélia Cohen sur FNL), puis d’autres, choix du coeur, presque sans raison car sans recul (True Detective, Master of Sex).
A l’heure d’internet et des réseaux sociaux qui cartographie les goûts de chacun (et créer son propre réseau personnel fait d’affinités communes), l’intérêt d’un tel hors-série peut paraître étonnant sinon un peu vain. C’est oublier le plaisir que l’on peut avoir à simplement lire, une nouvelle fois, sur une série que l’on chérit particulièrement. Le plaisir de lire un rédacteur. Celui qui nous pousse à acheter le même magazine ou journal, à revenir sur les mêmes sites. Peu importe le sujet sériephile, on (je) sait par avance que la lecture ne sera pas inutile et que le journaliste (dans ce cas présent, Olivier Joyard, Erwan Higuinen, Clélia Cohen ou Leo Soesanto pour les réguliers) parviendront à émouvoir, alerter, provoquer le temps d’une phrase, d’un paragraphe.
Oui, on a déjà beaucoup lu sur certaines séries. Oui, on peut avoir l’impression que tout a déjà été dit sur certaine. Mais on peut avoir envie de lire à nouveau sur ses séries, parce que le temps a joué (dans la plume du rédacteur, dans l’oeil du lecteur). Et la lecture devient pur plaisir. Comme lire, les reviews à venir de Battlestar Galactica, que l’on a peut-être déjà vu, qu’on a peut-être déjà lu ailleurs. Mais pas par notre hôte. Et pas aujourd’hui précisément.
Pas grand-chose de bien palpitant à rapporter de mon côté non plus, pour ce 27ème FNH. Je reprends lentement mais sûrement mes habitudes après les mois de janvier et février où je faisais « la grève des inédits » et je reste encore et toujours bluffé par la qualité de mes deux séries de network préférées, Parenthood et The Good Wife, qui m’ont chacune à sa manière fait frissonner et brisé le cœur cette semaine. Je n’en révèle pas plus, même si j’ai cru comprendre que tu étais malencontreusement tombée face à face avec un énorme spoiler juste après la diffusion de l’épisode de la seconde et je te laisse le plaisir de découvrir tout ça en temps voulu quand tu rattraperas la saison 5.
Pour le reste, ma foi, l’excitation ces derniers temps, ce n’est pas vraiment du côté des séries que je la trouve mais plutôt dans l’excellente vingt-huitième saison de mon jeu favori, Survivor qui a démarré sur les chapeaux de roue fin février et nous offre vraiment quelques-uns de ses meilleurs épisodes ces temps-ci. Ça fait plaisir de voir que l’émission parvient encore à trouver de nouveaux candidats intéressants dans sa quinzième année à l’antenne.
Tu vas probablement en rire ou hausser les épaules, mais ta question concernant LA série que je ramènerais le temps d’un film, c’est précisément le genre de colle à laquelle je suis littéralement incapable de fournir une réponse, sous peine de me reprendre aussitôt pour en changer trente-six fois. Avec toutes les séries qu’on voit au cours d’une vie, comment serait-ce possible de n’en sélectionner qu’une seule ? Tout choix est un renoncement, et je suis de ceux qui ne veulent renoncer à aucune !
Pour ce qui est d’Hořící Keř, je plaide coupable de ne pas l’avoir regardée sur Arte puisque j’en ignorais la diffusion avant de trouver un de tes tweets une fois celle-ci commencée, mais je compte réparer cette grossière erreur très rapidement car je l’ai trouvée chez mon pir…mon crémier favori.