Ça fait 10 jours que je suis en boucle sur les épisodes de Portlandia. Je mange Portlandia (un épisode par repas, oui il y a beaucoup de rediffs), je dors Portlandia (avec le générique comme berceuse), je chante Portlandia (je me suis découpé la première scène du pilote !). Inutile de préciser que l’annonce de son renouvellement ne pouvait que m’enchanter.
Alors évidemment, vous n’alliez pas y couper non plus dans ces conditions, et me voilà débarquant avec le générique de ce qui est probablement la série la plus originale du moment, ce que j’avance, vous le devinez, de façon totalement objective.
Note : lien valable 30 jours minimum. Je reuploaderai si le lien est mort, mais seulement si vous postez un commentaire pour me prévenir !
A la fois quelconque au dernier degré et absolu d’exotisme, le générique de Portlandia offre une carte postale étrange, faite des lieux qu’on a l’impression de connaître par coeur mais qui semblent aussi receler une personnalité cachée, qui s’exprime dans les quelques portraits rapides qui se succèdent. A la fois pavillonnaire et industrielle, la ville de Portland semble déjà pleine de bizarreries sans grande excentricité, un peu comme les bobos finalement assez consensuels que la série s’ingénie à dépeindre. Et cette musique… Allez, je m’en remets un coup.
Et comme je suis pas chienne, demain, un autre post, bien plus fourni, sur Portlandia. Parce que ouais, c’est un post chaque vendredi. MINIMUM.
Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Portlandia de SeriesLive.