Sur Desperate Housewives, les avis sont dorénavant bien plus partagés qu’ils ne l’étaient quand je regardais encore la série il y a 4 ou 5 saisons de ça. A l’époque tout le monde était extatique, aujourd’hui les quelques avis positifs se font vite renvoyer dans les cordes.
Ce qui n’empêche pas que 712 blogueurs téléphages en parlent chaque semaine, review après review, quitte à le faire en mode Schtroumpf Grognon, probablement de crainte de passer à côté des visites que suscitera immanquablement un avis cinglant sur le sujet. Que de temps perdu à parler de séries qui vivent sur leur popularité passée, quand on pourrait faire l’effort de se lancer dans la découverte… Mais finalement, qu’est-ce que j’en sais, hein ? Comme je vous l’ai dit, j’ai arrêté de regarder sérieusement la série il y a bien longtemps. Ca se trouve je suis passée à côté d’un petit bijou de… de… ouais, nan, personne n’est dupe.
Et si j’ai forcément vu quelques épisodes depuis, c’était par hasard, en zappant, et je ne restais que pour une raison, et une seule…
…et même celle-là n’a pas suffit à me faire persister dans mon visionnage.
Alors, si comme moi vous aimez les vieux beaux, mais pas au point de vous coltiner une série complètement répétitive et nunuche (alors que vous étiez prêts à regarder un film peu scrupuleux plusieurs fois sans sourciller, c’est dire s’il en faut pour vous décourager… wow, on a beaucoup en commun dites-moi), BONNE NOUVELLE !
Décidé à se lancer dans une nouvelle vie, Kyle MacLachlan a quitté sa série de gonzesses et est de nouveau sur le marché (professionnel seulement, mais hein, un pas à la fois, on s’occupera de Desiree dans un second temps), ce qui est pour moi une source de joie indescriptible, et ouvre de nouvelles possibilités téléphagiques.
Oh, il a peut-être un peu loupé le coche pour la saison prochaine : le peu que j’ai accepté de lire sur les grilles de l’an prochain ne le mentionnant pas, je présume qu’il n’est pas prévu pour lui qu’il tienne un rôle important à la télévision dans un futur immédiat. Mais à la mid-season, dans des téléfilms et même au cinéma, l’espoir renait.
Je vais enfin pouvoir espérer avoir ma dose de Kyle sans avoir envie de m’infliger le sort de Mary-Alice.
La vie est chouette, quand même, des fois. Ouhlà, non, ne parlons pas de foie…