Buzzer Beat, c’est tout ce que j’aime. Pas. Du sport, des triangles amoureux à perte de vue… euh, et rien d’autre. Les dorama japonais se distinguent rarement par leurs dialogues, mais quand le scénario aussi est aussi pauvre, on touche vraisemblablement le fond.
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Il y a bien une petite scène où quatre des membres de l’équipe de basket se mettent torse nu et comparent leurs pectoraux (ah, tiens, mais où est passé Nakayomi ? il était là à l’instant…) et quelques rebonds de ballon, mais on ne peut même pas dire que le générique soit représentatif du pilote, pour le moins. C’est largement moins bourré d’action qu’on ne veut vous le faire croire, et ça tourne essentiellement autour des amourettes des uns et des autres.
Alors il y a des moments où il y a un semblant de fond, où on nous parle vaguement de l’univers du sport professionnel (si tu n’as pas de bons résultats on te paye moins, attention parfois on embauche des joueurs qui jouent mieux que toi), ou de l’univers de la musique (j’avais un récital mais j’ai explosé une corde de mon violon, il faut s’entrainer souvent pour réussir à faire de la musique en professionnel), mais franchement, tout ce qui est raconté par ce biais nous a été dit déjà tant de fois et la conclusion est si banale (bah du coup on va faire de notre mieux… sans rire, vous avez déjà vu une série japonaise où on ne dit pas qu’on va faire de notre mieux ?!), qu’il n’y a rien à se mettre sous la dent par ce biais.
Donc si vous n’avez pas le temps et/ou l’envie de découvrir Buzzer Beat, je vous pardonne largement, moi-même si c’était à refaire…
Bouuuh, le sport, c’est le mal (surtout en matière de séries télés !!). Et pis, c’est quoi cette arnaque ? La scène des pectoraux n’est pas dans le générique ? Pffff… -__-