Un jour. Un jour par siècle, je me tiens volontairement éloignée d’internet, et entreprends d’avoir une vie.
Et ce jour-là, précisément, mon cauchemar se réalise : une constellation s’éteint.
Je vous avais bien dit que le mois de décembre était toujours chargé.
Adieu, donc, à Majel, dont j’ai pour ma part découvert l’existence tardivement avec et dans Invasion Planète Terre, et qui sans le savoir (le pire, c’est qu’ils ne le savent jamais) a été de ceux qui m’ont ouvert les portes de la téléphagie. Serais-je ici sans elle ? Je ne le pense pas. Je passerai une journée comme celle d’hier, où les séries n’existent pas.
Mon Dieu, que ce serait triste.
Je vais donc, en toute logique, vous faire aujourd’hui ma Trekkophile, et vous sortir une citation de l’épisode I, Mudd, de Star Trek :
« Behind every great man, there is a woman — urging him on. »
Car qui d’autre pouvait aussi bien rendre hommage à Majel que Gene Roddenberry lui-même ?
Merci à Jérôme pour l’info. Même si, évidemment, on préfère encore apprendre des horreurs comme le renouvellement de Clara Sheller. Et voilà, j’ai souillé ce post.