Aujourd’hui, dans le flacon, un médicament qui attise et apaise les douleurs en une seule cuiller…
Comme j’aime ce générique ! Il est exactement ce dont cette série avait besoin. Il est simple (pas d’effort particulier n’a été mis dans l’habillage par exemple), mais il est très fort. On sent déjà qu’on a affaire à une petite chronique de la vraie vie, pas à l’un de ces shows, et ils sont nombreux, qui cherchent à faire de grandes histoires soi-disant ordinaires, mais qui n’arrivent jamais vraiment.
Angela, 15 ans, et c’est tout. Et c’est tellement.
Vous m’en voulez si j’écrase une petite larmouchette, là, maintenant ?
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Et puis je sais pas, moi, malgré toute la simplicité qui en ressort, je trouve ce générique bien ficelé. L’image d’Angela qui court dans le couloir, à la fin. Et puis surtout, celle que j’ai choisie en capture.
Ce n’est, en fait, rien d’infiniment original. C’est juste Angela qui, dans le pilote, rentre tard chez elle et essaye de ne réveiller personne dans la maison, remontant dans sa chambre sur la pointe des pieds. Mais moi je ressens ce passage comme métaphorique, avec la lumière dans l’escalier, les marches qu’elle gravit lentement, le visage tendu vers le haut…
Bon, j’arrête de vous embêter avec mon sentimentalisme. Mais je suis comme Ben… je n’ai jamais réussi à trouver une série sur l’adolescence qui soit capable de m’inspirer autant. Alors allez-y, c’est cadeau. C’est de moi à vous en passant par mon DVD import, parce qu’en plus je lésine pas sur la qualité m’sieurs dames.
Comme capture, j’aurais sans doute pris l’image où elle se démaquille devant son miroir. Très douce-amère… à l’image de la série.