…ne rien faire, c’est la conserver. Comme chacun sait.
Il aura fallu attendre 15h30 pour que DOM THOM, barricadée dans son bureau, voie Monsieur Patron pour la première fois de la journée. C’est que, vous comprenez, elle est « pas bien, hein, pas bien du tout ». Il faut dire que « le traitement est lourd », aussi. Du coup elle est « claquée, complètement claquée ».
Du coup, à part passer des coups de fil dans son bureau (elle n’a pas l’idée de baisser le son donc c’est comme si elle n’avait pas fermé la porte, la discrétion est nulle), prendre du café en intraveineuse et déjeuner pendant des pauses interminables, elle n’a pas foutu grand’chose. Elle a passé un coup de fil professionnel ce matin… et puis ensuite une impression à 15h30 qu’elle a apporté à 5m de là dans le bureau de Monsieur Patron, avec l’air de quelqu’un qui est à la torture.
Monsieur Patron qui est overbooké mais qui se préoccupe quand même de sa santé, et donc elle sort son argumentaire habituel au chaland puisqu’il est si bon client, et que le public semble en redemander.
Elle revient le regard torve vers son bureau, et me dit comme si j’avais écouté leur conversation en détail « je vais pas me faire arrêter, sinon après ils t’enlèvent des journées ». Oui c’est le principe. « Donc bah j’allais pas me faire arrêter ».
Ca ne la choque pas de venir au boulot juste pour toucher sa paie, et pas pour la mériter ? Elle se dit pas que venir au boulot, c’est pas juste payer les factures, c’est aussi travailler ? Qu’en réalité sa venue n’apporte aucune valeur ajoutée à notre petite équipe, et qu’elle est d’une inutilité navrante ?
Nan mais, laissez… vous savez combien je peux être psychorigide sur ce genre de détails…
Oh la catin! XD j’en reviens pas!
LA SUITE LA SUITE!!!