Cette nuit je me suis bloquée le cou. J’appelle donc toute la matinée pour prévenir DOM THOM de mon absence, le temps que je puisse aller chez le médecin, et plus si affinités (je sens bien arriver le coup du kiné).
Mais depuis ce matin, personne ne répond au secrétariat. DOM THOM est-elle absente ? Soit ça, soit j’appelle pendant ses multiples heures de pause café/clope/glandouille.
Résultat je finis par appeler Monsieur Patron, je tombe sur son portable ce que je déteste, et en plus je suis obligée de lui expliquer que je prends deux jours de congés en me sentant coupable de le laisser tomber alors que, merde alors, DOM THOM elle est là aussi, de temps en temps, non ? Bah non.
J’avoue que je l’ai un peu mal pris quand il m’a dit que ça gênait la marche du service. Il me semble que mon absence de deux jours (soit 14h sur les 74 que j’ai à récupérer – s’il faut être mesquin on peut très bien être deux à l’être) ne pénalise pas tant le service que la glandouille de DOM THOM quand même, non ?
Je reviens lundi, et il y a de fortes chances pour que ma colère ne soit pas retombée d’ici là. Il sera donc temps de dire ce que j’ai sur le coeur. Soit à l’un, soit à l’autre, mais j’ai l’impression de me faire entuber subitement.