Demain je parlerai de ce qui me chamboule.
(ou peut-être pas)
Pour le moment, je suis juste quelque part à Copacabana, bercée par quelques voix plus ou moins heureuses, à me laisser bercer.
Et l’ironie, c’est que la personne qui devrait me bercer en ce moment est celle qui m’a blessée ce soir.
Sur Onna Kanashii Otona… en boucle…